Bien sûr, pour la réforme du millefeuille territorial, on peut préconisouiller des trucs lentement tirés par les cheveux coupés en quatre par des hauts commissaires politiques à la régionalisation à visage social et humaniste, s’inquiétasser des risques de confusion d’identités sexuelles et régionales pour les Gaulois aux racines plus ou moins certaines, se demander gravement entre énarques de la même promo si changer quoi que ce soit avant le siècle prochain ne risquerait pas d’induire des tentations de dialogue social à la mode des bonnets rouges et autres pyromanes, et promettre comme d’hab’ de s’en occuper avec un groupe de travail interministériel en cas d’élection- réélection en franchouillardie franco-française.
Ou pas.
Sur le Pouce de Paris 