La fin de la 1ère vague du #Covid_19 est prévue pour l’arrivée de la #Canicule_20

… et vice-versa, franchement, ce monde est bien fait.

À ce sujet, puisqu’on parle des marées qui montent et descendent, et des gens qui se demandent s’ils auront une retraite (pas seulement si des revenus leur seront versés par tel ou tel machin public ou privé par capitalisation, répartition, ou distribution d’argent hélicoptère, mais s’ils auront la chance de profiter d’un temps plus ou moins long de liberté sans devoirs à rendre, horaires à respecter, transports ou embouteillages à endurer, entretiens professionnels, réunions de service, clients et autres supplices à subir, et jeux vidéos ou questionnaires de prestataires de pôle emploi à pratiquer confiné ou au jardin selon ses moyens d’avant la fin de vie professionnelle) … puisqu’on en parle, écrivais-je, si j’étais vous j’attendrais demain avant d’acheter des actions Total à 33 (l’âge éternel du Christ …) : si ça vaut 30 ou moins (en fonction des cash-flows futurs, de l’âge moyen des capitaines de pétroliers, des publics relatifs du docu de Michael Moore sur l’escroquerie des énergies vertes et des prochains épisode de la série #WeLOveGreta, et de la propension du patron du jour à fréquenter des … aéroports (what did you expect ?) dangereux), ça ne foncera pas à 40 sur un malentendu comme quand Tesla ou Airbus font du yo-yo géant, et vous pourrez acheter tranquillement à 31 ou 32 pour stocker en fond de portefeuille avec Orange, Engie, et quelques autres machines diesel à cash vendues au juste prix, tandis que si ça vaut vraiment 40 ou plus, il n’y aura qu’à acheter quand ça passera à 35 ou 36, sans se presser, demain peut-être, ou alors plus tard, après le feu.

Faut pas jouer en bourse dans la fumée d’incendie aux causes incertaines dans un tunnel pas clair à la destination inconnue … de toute façon, le temps que je finisse ce billet de café court, le marché a fermé, et jouer hors-séance est réservé aux experts (non, pas les experts en tout et rien qui blablatent de virus, de foot, ou de politique selon les heures, les pros des marchés financiers), voire aux initiés (honni qui mépense, initié, ça veut pas obligatoire dire truand en col blanc, salopard toujours présumé innocent, ou copain à trois points et tuyaux increvables), mieux vaut aller jouer sur le Nasdaq, si on aime le surf dans les vagues californiennes.

Pour en revenir à la seconde vague du Covid_19, restons calme, rien ne garantit que ça arrivera, non, pas avant la première du Covid_20, on n’est pas sur un blog comploto-défaitiste en manque de Prozac, ici, avant la réouverture des plages publiques pour les vacances d’été (dont si on était dans un blog comploti-dépressif, ici, on se demanderait de l’été de quelle année il peut bien s’agir, vu comment binzique, voire tsunamique, s’annonce le déconfinement à Paris et orbi en France de Mayotte aux Kerguelen en passant par le Lot et les banlieues où même les pompiers ayant fait la Corse et le Festival de Cannes refusent d’aller).

RF – Paris, 5 mai 2020, jusqu’ici, ça farte …

 

 

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