La gauche de la gauche peut caqueter, les pleureuses canal larmoyant et les twitlitants rémunérés se lamenter, et les chiens de presse plus ou moins méchants aboyer, le scooter lasse, et la caravane Valls passe …
On peut s’étonner, voire s’indigner que le petit gros bigleux ait eu les c… de choisir Valls au risque de ne même pas réussir à le stériliser en vue de 2017, ou constater lucidement que c’est la seule chance pour le locataire (à titre gracieux, il devrait y avoir une fiscalisation sur ce privilège) de l’Elysée de ne pas être expulsé en 2017, si Valls réussit un tant soit peu et/ou s’il cristallise le vote FN et que tout ça aboutit à un 21 avril à l’envers en 2017 avec Hollande contre la le Pen au second tour.
On peut aussi tristement sourire (le 1er avril, on ne va pas pleurnicher) en constatant que Hollande finit le sale job commencé par ses prédécesseurs : François Mitterrand a empoisonné la France ; Chirac l’a mise en coma artificiel ; Sarko n’a pas su la réanimer (pensée pour Schumacher) ; et maintenant François Hollande la débranche sous les applaudissements des partisans de l’euthanasie (l’état nazi, riront très jaune les anti-Valls) de ce qui fut une Grande Nation, un Empire, et même un Pays de Lumières (honni qui « La France de Hollande, c’est les Soviets avec l’Ena et l’électricité nucléaire » pense trop fort) …
Sur le Pouce de Paris 